dimanche 6 mai 2007

C H A N T O N S !!! 2

Sauf erreur, les chants publiés ici sont libres de droit : si toutefois je me suis trompé, c'est de bonne foi et en tout état de cause sans but lucratif.
Merci aux éventuels ayant droit de se manifester par courriel, je supprimerai ce qui doit l'être ou mentionnerai l'accord de publication.





PRIÈRE DU SOIRQuand la nuit descend sur la terre
Quand le soir s’étend dans les bois
Vers TOI monte notre prière
Seigneur daigne entendre notre voix
Dans le camp tout baigné de silence
Éclairé des derniers feux du jour
Nous chantons vers le Dieu d’espérance
Ce chant du soir qu’a dicté notre amour

REFRAIN Seigneur qui vois le secret de notre âme
Emplis nos cœurs de l’ardeur de ta foi
Afin qu’unis dans une même flamme
Nous nous courbions devant TOI…





HÉ, GARÇONHé garçon prends la barre

Vire au vent et largue les ris.


Le vent te raconte l’histoire


Des marins couverts de gloire


Il t’appelle et tu le suis.


2. Vers les rives lointaines


Que tu rêves tant d’explorer


Et qui sont déjà ton domaine.


Va tout droit sans fuir la peine


Et sois fier de naviguer


3. Sur mer et sur terre


Au pays comme à l’étranger.


Scout, sois fidèle à tes frères,


Car tu as promis naguère


De servir et protéger





L’APPEL AU FEU DE CAMP
Holà, dedans le campement

Groupons-nous, un instant


Près de la claire flamme,


Pieds tendres comme les vieux loups.


Accourons, laissons tout,


Le conseil nous réclame





2. Gardien du feu, tu peux porter


La flamme à ton foyer


Et que le feu pétille


Silence parmi les taillis,


Soyons tous reccueillis,


Au conseil, le feu brille.





CLAIR MATIN
Le matin tout resplendit, tout chante


La terre rit, le ciel flamboie


Mais pour nous qu’il pleuve, tonne ou vente,


De tous temps nous chantons notre joie


REFRAIN


Car chaque jour est un jour de fête,


Dans notre cœur le soleil luit toujours


Vibrant de joie, d’élans et d’amour


Notre âme fière chantera toujours





2. On dit bien que la vie est maussade


Que chaque jour est un souci.


Nous savons la prendre en camarade,


Lui sourire et lui dire merci…Refrain


LA CLOCHE DU VIEUX MANOIR



C’est la cloche du vieux manoir
Du vieux manoir Qui sonne le retour du soir
Le retour du soir
C’est la cloche…(Canon)

NOUS ÉTIONS TROIS CAMARADES
Nous étions trois camarades

Tous les trois que nous partions
L’un s’en va vers la Hollande
Et l’autre dans le Piemont,
Et moi qui suis le plus jeune,
Je m’en vais dans les dragons.

2 Mais avant que de partir,
Il faut faire nos adieux.
Nos adieux à toutes ces filles
Qui en ont les larmes aux yeux.
Surtout ma belle Joséphine
Qui s’arrache les cheveux.

3. Ah, pleure donc pas tant ma belle
Dans sept ans je reviendrai.
Lorsque finira la guerre
Dans ces pays étrangers,
Ma fortune sera faite
Alors, je t’épouserai.

4. Ta fortune sera bientôt faite
Par un boulet de canon
Qui t’emportera la tête,
les deux jambes sans façon
Le bout de ta baïonnette
Te servira de bâton.


LE FEU BRILLENotre chef est parmi nous

Le feu brille et la forêt palpite

Il nous parle des temps héroïques
Où des preux luttaient pour nous
Sur nos têtes le vent crie et passe
Par ce souffle les chênes frémissent
Le feu brille et la forêt palpite
Notre chef est parmi nous.


L’ALPHABET SCOUTUn jour la troupe campa A,A,A
La pluie s’mit à tomber B,B,B
L’orage a tout cassé C,C,C
Faillit nous inonder A,B,C,D

2. le chef s’mit à crier E,E,E
À son adjoint Joseph F,F,F
Fais-nous vite à manger G,G,G
Les scouts restent sous la bâche E,F,G,H

3 les oiseaux dans leur nid I,I,I
Les loups dans leur logis J,J,J
Chahutent avec fracas K,K,K
Avec les hirondelles I,J,K,L

4. Joseph nous fit de la crème M,M,M
Et du lapin d’garenne N,N,N
Et même du cacao O,O,O
Mes amis, quel souper M,N,O,P

5 soyez bien convaincus Q,Q,Q
Que la vie au grand air R,R,R
Fortifie la jeunesse S,S,S
Renforce la santé Q,R,S,T

6 Maintenant qu’il n’pleut plus U,U,U
Les scouts vont se sauver V,V,V
Le temps est au beau fixe X,X,X
Plus besoin qu’on les aide U,V,X,Z
ENFANT DE LA MONTAGNE
Enfant de la montagne, j’y retourne, j’y retourne

Enfant de la montagne, j’y retourne en chantant
La fatigue me gagne, mais mon cœur est content (bis) (canon)




M A R I N E
C’était un bateau, qu’était grand, qu’était beau

Ohé les matelots !

Il fendait les vagues, il fendait les flots

Ohé les matelots !

Sur la mer immense, chantaient les matelots.



2. Partis en voyage aux pays lointains

Ohé les matelots !

L’épée de St-Jacques montrait le chemin

Ohé les matelots !

Sur la mer immense, voguaient les matelots.



3 Un soir la tempête survint brusquement

Ohé les matelots !

Et tout l’équipage luttait dans le vent

Ohé les matelots !

Sur la mer immense, luttaient les matelots



4 Le vent a soufflé quatre jours et trois nuits

Ohé les matelots

Et dans la tempête se sont endormis

Ohé les matelots !

Sous la mer immense, dormaient les matelots.




CLAIRE FONTAINE(deuxième version)
À la claire fontaine,
M’en allant promener ohé, ohé
J’ai trouvé l’eau si belle
Que je m’y suis baigné ohé, ohé
Je suis le roi d’Espagne,
J’aime les filles aux yeux noirs
Là-haut sur la montagne,
Nous irons danser ce soir
Tous les soirs
Dig, dig dong
Dig, dig, dong,
Tous les soirs nous dansons.





LA LÉGENDE DU FEU
Les scouts ont mis la flamme aux bois résineux
Écoutez chanter l’âme qui palpite en eux !

REFRAIN
Monte flamme légère,
feu de camp si chaud, si bon
Dans la plaine ou la clairière,
monte encore et monte donc !
Feu de camp si chaud, si bon !

2 J’étais jadis un prince
perfide et méchant,
dépeuplant sa province
de petits enfants.

3 Me tendit ses embûches,
l’enchanteur Merlin
M’enferma dans les bûches
du grand bois voisin.

4 Je m’installe en vos chambres
à votre foyer
Pour réchauffer vos membres
et vous égayer.

5 J’entre dans la cuisine
et fais chanter l’eau,
Et je sors de l’usine
par le haut-fourneau.

6 Ma leçon, la dernière ,
vous dit : mes enfants
On ne fait rien sur terre
qu’en se consumant !

Ô FLAMME MONTE
Ô flamme monte que ta lumière

Nous purifie, guide nos cœurs


DU FAGOT
Du fagot jaillit la flamme,

Chantons le feu
Quel joli bouquet d’étoiles
Dans le ciel bleu
Du fagot jaillit la flamme,
Chantons le feu.





J’AI LIÉ MA BOTTE
Au bois voisin il y a des violettes
De l’aubépine et de l’églantier

J’ai lié ma botte avec un brin de paille
J’ai lié ma botte avec un brin d’osier

2 j’y vais le soir pour y faire la cueillette
En gros sabots et en tablier

J’ai lié ma botte…

 

LE VIEUX JO
Ils ne sont plus, les beaux jours de l’amitié
Tous mes amis ont quitté les cotonniers
Ils sont partis au pays du grand repos
J’entends leurs douces voix chanter ‘’Eho vieux Jo’’



REFRAIN

Me voilà, me voilà, tout brisé par les travaux
J’entends leurs douces voix chanter ‘’Eho vieux Jo’’



2 Pourquoi pleurer quand mon cœur est toujours gai
Pourquoi gémir, ils ne peuvent revenir
Depuis longtemps ils sont tous partis là-haut
J’entends leurs douces voix chanter ‘’Eho vieux Jo’’



3 Où sont-ils donc ces amis qu’on aimait tant
Et ces enfants qu’on berçait si doucement
Ils sont heureux, près d’eux je serai bientôt
J’entends leurs douces voix chanter ‘’Eho vieux Jo’’

 
CHANT DES MARAIS
Loin dans l’infini s’étendent

les grands près marécageux
Pas un seul oiseau ne chante
dans les arbres secs et creux

REFRAIN

Ô terre de détresse
où nous devons sans cesse
piocher, piocher



2 Dans ce camp morne et sauvage,
entouré de murs de fer
Il nous semble vivre en cage,
au milieu d’un grand désert



3 Bruit des chaînes, bruit des armes,
sentinelle jour et nuit
Des cris, des pleurs et des larmes,
la mort pour celui qui fuit

4 Mais un jour dans notre vie,
le printemps refleurira
Libre alors Ô ma patrie,
je dirai tu es à moi
Ô terre d’allégresse
où nous pourrions sans cesse
Aimer, Aimer




LE SOIR DESCEND
Le soir descend

La nuit s’étend
sur notre camp (Canon)







AUTOMNE

Colchiques dans les près fleurissent, fleurissent
Colchiques dans les près, c’est la fin de l’été



REFRAIN

La feuille d’automne, emportée par le vent
En ronde monotone, tombe en tourbillonnant



2 Châtaignes dans les bois se fendent, se fendent
Châtaignes dans les bois se fendent sous nos pas



3 Nuages dans le ciel s’étirent. s’étirent
Nuages dans le ciel s’étirent comme une aile.



4 Et ce chant dans mon cœur murmure, murmure
Et ce chant dans mon cœur appelle le bonheur


2 commentaires:

Youdith Shaked a dit…

Merci d'avoir mis cette chanson
Automne.
Je l'avais aussi apprise en Tunisie.
Edith Shaked

Unknown a dit…

Retrouver à 80 ans des chansons de mon adolescence c'est rajeunissant. Ce n'est peut-être pas ce que vous attendiez comme commentaire et dans ce cas j'en serais désolé mais il n'en demmeure pas moins que j'ai été très heureux de les relire. Serait-il possible d'y joindre la musique? Est-ce trop demander? À l'impossible nul n'est tenu, bien sûr, mais impossible n'est pas français! C'est un Québécois qui l'affirme évidemment après N.B.